**** Chronique de Jess ****
1906 : Gilbert Petit-Rivaud, un artiste-peintre parisien s'installe à Giverny. Son rêve : approcher le déjà illustre Claude Monet. Dans l'attente de cette hypothétique rencontre le jeune homme fait tranquillement la connaissance des voisins et des proches du grand peintre.
Soudain, au beau milieu du paradis des Impressionnistes, voici, dans l'eau, un corps décapité ! Est-ce celui du prêtre ? d'un peintre ? d'un vagabond ? d'un inventeur génial ? Détourné de la peinture, mordu par cette énigme, Gilbert Petit-Rivaud va se lancer dans un périple à vélo à la recherche de la vérité où l'authentique va se frotter à l'« impression ». Au cours de cette drolatique aventure sur les boucles de la Seine, le jeune enquêteur va croiser bon nombre de gens curieux : un gentleman cambrioleur, un savant travaillant à une œuvre révolutionnaire, un ministre de l'Intérieur amateur d'Art, deux sœurs originales bien moins naïves qu'il n'y paraît, des aubergistes crapuleux qui en rappellent d'autres. L'identité de la victime finira bien heureusement par être découverte par notre valeureux apprenti détective.
Ce roman pas policier mais presque a été conçu comme un engin drolatique pour voyager dans le temps, ses énigmes, ses lieux communs et ses lieux singuliers.
Il commence à Giverny dans un Eden propice à la contemplation, où, comme le dira un jour Clemenceau à l'enterrement de Monet, « Le noir n'est pas une couleur ».
Cette drolatique histoire est un objet littéraire bigrement original, fort bien troussé. On s'amuse, on apprend, on sourit et l'on est ravi de cette découverte littéraire et presque policière.
Giverny, La Roche-Guyon et son château extraordinaire, la Seine, les faubourgs parisiens sont les principaux lieux visités par ce drôle d'enquêteur.
Gilbert Petit-Rivaud a existé et a peint quelques toiles de bonne facture.
Soudain, au beau milieu du paradis des Impressionnistes, voici, dans l'eau, un corps décapité ! Est-ce celui du prêtre ? d'un peintre ? d'un vagabond ? d'un inventeur génial ? Détourné de la peinture, mordu par cette énigme, Gilbert Petit-Rivaud va se lancer dans un périple à vélo à la recherche de la vérité où l'authentique va se frotter à l'« impression ». Au cours de cette drolatique aventure sur les boucles de la Seine, le jeune enquêteur va croiser bon nombre de gens curieux : un gentleman cambrioleur, un savant travaillant à une œuvre révolutionnaire, un ministre de l'Intérieur amateur d'Art, deux sœurs originales bien moins naïves qu'il n'y paraît, des aubergistes crapuleux qui en rappellent d'autres. L'identité de la victime finira bien heureusement par être découverte par notre valeureux apprenti détective.
Ce roman pas policier mais presque a été conçu comme un engin drolatique pour voyager dans le temps, ses énigmes, ses lieux communs et ses lieux singuliers.
Il commence à Giverny dans un Eden propice à la contemplation, où, comme le dira un jour Clemenceau à l'enterrement de Monet, « Le noir n'est pas une couleur ».
Cette drolatique histoire est un objet littéraire bigrement original, fort bien troussé. On s'amuse, on apprend, on sourit et l'on est ravi de cette découverte littéraire et presque policière.
Giverny, La Roche-Guyon et son château extraordinaire, la Seine, les faubourgs parisiens sont les principaux lieux visités par ce drôle d'enquêteur.
Gilbert Petit-Rivaud a existé et a peint quelques toiles de bonne facture.
Merci aux éditions Lajouanie pour cette nouvelle lecture.
J'ai tout de suite été attirée par la couverture et le lieu où se déroule ce roman. Giverny, village de Normandie très prisé des artistes. J'y suis allée suite à ma lecture de "Nymphéas Noirs" de Michel Bussi et j'avais envie d'y retourner dans une nouvelle histoire pas policière mais presque.
Nous rencontrons dans ce roman Gilbert Petit-Rivaud, 24 ans, qui quitte Paris pour aller s'installer à Giverny. Il décide de devenir peintre à plein temps et rêve de rencontrer son idole, Claude Monet.
Il va rencontrer dans ce village de drôles de personnages. Il se retrouve mêlé à une affaire de meurtre quand un corps est retrouvé décapité. Lui qui ne rêvait que de peindre et de tranquillité se retrouve malgré lui enquêteur.
Il va donc partir sur son vélo pour trouver le fin mot de l'histoire. Sur sa route il va rencontrer de nouveaux personnages plutôt célèbre et il va lui arriver de drôles d'aventures.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Je pense que cela n'a rien à voir avec ce livre mais parce qu'il m'arrivait des choses personnelles quand j'ai commencé ma lecture. Je l'ai donc arrêté une première fois pour le reprendre de plus belle et le finir d'un coup.
Il m'a été agréable de revisiter les lieux qui me sont proches mais à une autre époque. Je me suis attachée à Gilbert, ce jeune homme un peu naïf, toujours prêt à rendre service à son prochain, très généreux. L'histoire peut paraître rocambolesque mais c'est ce qui fait tout son charme. L'enquête est très bien menée et on ne voit pas du tout arriver la fin.
Je me suis demandée parfois où l'auteur allait chercher tout ça mais cela donne un roman inimitable, et improbable.
Un roman pas policier mais presque qui change comme tous les livres des éditions Lajouanie et c'est encore une belle surprise.
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