**** Chronique de Jess ****
Pour ses voisins de Turner’s Grove, charmante banlieue bourgeoise de Baltimore, Héloïse Lewis est juste une jeune femme dynamique et méritante. Veuve avant même la naissance de son enfant, elle est devenue l’une des lobbystes les plus efficaces de l’état tout en réussissant à être une mère attentive, présente aux réunions de parents d’élèves et aux matchs de foot de son fils.
Mais pour certains hommes riches et discrets, elle est aussi celle qui peut leur fournir toutes les « accompagnatrices » qu’ils veulent pour la nuit.
Un jour pourtant, les cloisons étanches qui séparent ses deux vies sont prêtes à tomber. L’une de ses « employées » a décidé de la faire chanter tandis qu’une autre « femme d’affaires » est retrouvée assassinée. Sur le lieu du crime, certains indices pourraient intriguent les enquêteurs : ils les mèneraient tout droit vers un dangereux criminel, aujourd’hui incarcéré mais qu’Héloïse a bien connu…
Sans diplôme, sans famille et sans amis, Héloïse doit trouver une solution. De toute urgence.
Je ne connaissais pas du
tout cette auteure c’est donc avec Corps coupable que je la
découvre. Je ne pense pas que je lirais un autre livre de cette
auteure car ce livre ne m’a pas plu.
Ce livre est censé être
un polar suspens et je cherche encore le suspens.
Un chapitre sur 2 nous
parle de son passé jusqu’à nos jours.
C’est l’histoire
d’une femme Hélène qui devient prostituée à cause de mauvaises
fréquentations. Son mac tue quelqu’un devant elle et d’autres
personnes et elle décide le jour où elle tombe enceinte de le
dénoncer pensant retrouver sa liberté. Elle monte finalement une
société d’escort à son compte. Son passé la rattrape quand un
des témoins du meurtre est retrouvé mort (meurtre maquillé en
suicide).
A la moitié de ma
lecture je pensais que le suspens allait venir, ou que quelque chose
allait se passer mais rien.
Il n’y a pas de
surprise, on sait qui tue et pourquoi il le fait. J’ai quand même
fini le livre jusqu’au bout en me disant peut-être que la fin sera
spectaculaire et bien non. C’est plat.
Je n’ai donc rien
ressenti en lisant ce livre. Dommage.
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