Le petit bourg de Castellaccio, dans la région du Cilento, au sud de l’Italie, abrite un très vieux saule. À la fin de l’été 1985, on a retrouvé le corps de la jeune Claudia pendu à ses branches, sa tête décapitée gisant entre les racines. Trente et un an plus tard, pendue au même arbre, torturée de la même façon, la dépouille grouillante de vers d’une autre jeune fille contemple Damiano Valente, le Chacal, un célèbre écrivain de true crime. L’Homme du saule est revenu à Castellaccio.
Hypersensible, méthodique et acharné, le visage rongé de cicatrices et condamné à traîner sa jambe brisée, tenant grâce à la morphine, Valente est hanté par cet été de la peur où lui et ses amis Claudia, Flavio et Stefano ont été fauchés par la haine, la folie et la mort. Quand le commissaire De Vivo l’appelle sur l’enquête, la traque peut commencer.
Hypersensible, méthodique et acharné, le visage rongé de cicatrices et condamné à traîner sa jambe brisée, tenant grâce à la morphine, Valente est hanté par cet été de la peur où lui et ses amis Claudia, Flavio et Stefano ont été fauchés par la haine, la folie et la mort. Quand le commissaire De Vivo l’appelle sur l’enquête, la traque peut commencer.
Mon avis
Je remercie les éditions Bragelonne pour cette lecture.
Damiano, Stefano, Flavio et Claudia sont quatre adolescents. Chacun a ses histoires, ses histoires d'amitié et de coeur mais aussi de vengeance... Tout va bien pour cette bande de copains jusqu'en août 1985 où Claudia est retrouvée morte dans des conditions atroces... Que s'est-il passé ?
De nos jours, une jeune fille est retrouvée morte dans les mêmes conditions que Claudia, 31 ans auparavant... Le tueur qui était jusqu'à maintenant "en sommeil" serait-il de retour ? Quel est le rapport avec Claudia ?
Pourquoi Damiano, célèbre écrivain de True crime participe à l'enquête ? Pourquoi le sent-on impliqué aussi personnellement ?
Tout ne se passe pas forcément comme on l'avait prévu... et le passé peut resurgir à tout moment à nos dépens...
Pour être honnête, j'avais un peu peur d'être déçu de ce livre quand j'ai vu que l'auteur était italien. En effet, à part les livres de Donato Carrisi que j'ai aimé, les autres auteurs italiens n'ont fait que me décevoir. Antonio Lanzetta m'a emporté dans son histoire sombre et noire que j'ai adoré. Pari remporté avec brio ! :)
Tout ne se passe pas forcément comme on l'avait prévu... et le passé peut resurgir à tout moment à nos dépens...
Pour être honnête, j'avais un peu peur d'être déçu de ce livre quand j'ai vu que l'auteur était italien. En effet, à part les livres de Donato Carrisi que j'ai aimé, les autres auteurs italiens n'ont fait que me décevoir. Antonio Lanzetta m'a emporté dans son histoire sombre et noire que j'ai adoré. Pari remporté avec brio ! :)
"Le mal en soi" est une succession de courts chapitres qui alternent entre le passé en 1985 et de nos jours (soit 31 ans plus tard). Nous avançons en simultané entre passé et présent et j'ai adoré ! Cette alternance de périodes rend cette lecture plus qu'addictive ! Ce livre tient en haleine et se lit d'une traite. Les pages se tournent toutes seules, on a qu'une hâte c'est d'arriver au prochain chapitre pour retourner dans le passé ou dans le présent. Le style est d'une fluidité incomparable. L'intrigue en soi n'est pas "originale", mais par contre le don de conter des atrocités et de maintenir le suspens est indéniable. Antonio Lanzetta a un style efficace sans fioritures qu'il allie à une noirceur profonde. Ce livre est sombre mais nous laisse à la fin entrevoir une lumière au bout de son long tunnel.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Damiano qui est particulièrement réussi sur tous les plans. On sent une vraie vulnérabilité chez ce personnage. Il est abîmé aussi bien intérieurement qu'extérieurement. Son portrait physique ne le met pas à son avantage. Il est gravement mutilé sur une partie du visage (avec un oeil qui pleure tout le temps) et traîne sa jambe brisée qu'il calme à coup de cortisone. On se doute que son état est dû aux événements tragiques qui ont eu lieu en 1985 mais l'auteur maintien le suspens tout au long de notre histoire. J'ai également été touchée par le personnage de Flavio mais je vous laisse découvrir pourquoi en lisant "le mal en soi".
Une lecture addictive, fluide qui se lit vraiment très vite ! Je ne peux que vous conseiller de lire Antonio Lanzetta qui est un auteur à découvrir et à suivre.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Damiano qui est particulièrement réussi sur tous les plans. On sent une vraie vulnérabilité chez ce personnage. Il est abîmé aussi bien intérieurement qu'extérieurement. Son portrait physique ne le met pas à son avantage. Il est gravement mutilé sur une partie du visage (avec un oeil qui pleure tout le temps) et traîne sa jambe brisée qu'il calme à coup de cortisone. On se doute que son état est dû aux événements tragiques qui ont eu lieu en 1985 mais l'auteur maintien le suspens tout au long de notre histoire. J'ai également été touchée par le personnage de Flavio mais je vous laisse découvrir pourquoi en lisant "le mal en soi".
Une lecture addictive, fluide qui se lit vraiment très vite ! Je ne peux que vous conseiller de lire Antonio Lanzetta qui est un auteur à découvrir et à suivre.
# By Aurélie :)
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