Mon boulot : filmer le supplice des victimes avant de faire disparaître leur corps.
Mon but : être le tueur le plus inventif. Parce que la mort est un spectacle, certains sont prêts à payer très cher pour y assister. Voyeurs protégés par un écran, tortionnaires par procuration...
C'est la face cachée du Net. Un monde parallèle qui happe ses proies au hasard et fournit des frissons à prix d'or.
Des réseaux sociaux incontrôlables aux mafias spécialisées dans le marché de la mort en direct, le nouveau thriller de l'auteur du Jour où tu dois mourir dévoile les forces insoupçonnées de la perversion humaine.
Mon avis
Je remercie les éditions Albin Michel pour cette lecture.
Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé atrocement mutilée près de l'A86 en région parisienne. L'état de la victime plonge la police dans l'horreur. Derolle débarque et commence à faire le lien avec une affaire précédente où il a quasiment perdu "l'envie de vivre". Il se remet sur la piste des snuff movies auquel personne ne croit car il n'y aucune réelle preuve. Il explore le dark net à la recherche d'indices.
En parallèle, nous faisons la connaissance d'autres personnes dont Tuan, ancien militaire et tireur aguerri. Quel est le lien entre tous ces personnages ?
L'enquête s'avère plus compliquée que prévu.
La couverture de ce livre donne tout de suite le ton de ce qu'il renferme. Et quand vous lisez la quatrième de couverture, cela ne fait que confirmer votre impression. Cette impression qui vous collera à la peau et qui d'entrée de jeu vous propulse dans le vif du sujet.
L'auteur veille à ne pas nous perdre en travaillant les en-têtes de chapitres qui nous aident à nous repérer. Ils peuvent avoir le nom d'un personnage ou des mots-clés qui résument le chapitre. Un style fluide avec des chapitres ultra courts ce qui impose un bon rythme. Un livre de 400 pages vite englouti.
Première page, première ligne, on est directement débarqué dans une scène de mise à mort lente avec tout un tas de tortures, une perversité sans nom. L'objectif du tueur, avoir toujours plus d'imagination pour les mises à mort. L'auteur s'affirme dès le début et j'aime ça !
Dans "Les abysses du mal", chaque personnage cache sa part d'ombre avec des degrés plus ou moins important. J'ai apprécié Derolle avec ses fantômes, ses émotions à fleur de peau et ses bonnes intuitions au fil de l'enquête. Il se jettera corps et âme dans cette affaire. Les sentiments des victimes sont analysés/explorés au contraire du tueur. C'est peut-être "sadique" mais j'aurais voulu rentrer dans sa tête et en savoir plus sur ces commanditaires dont on en sait trop peu.
Mon seul "gros" regret est de savoir qui est le meurtrier dès le début. J'aurais voulu avoir plus de suspens, ou un gros retournement de situation car il me reste cette sensation d'inachevée. Malgré cet aspect, c'est un thriller sombre et efficace, une histoire originale mais pas assez approfondie pour ma part.
Le cadavre d'une jeune fille est retrouvé atrocement mutilée près de l'A86 en région parisienne. L'état de la victime plonge la police dans l'horreur. Derolle débarque et commence à faire le lien avec une affaire précédente où il a quasiment perdu "l'envie de vivre". Il se remet sur la piste des snuff movies auquel personne ne croit car il n'y aucune réelle preuve. Il explore le dark net à la recherche d'indices.
En parallèle, nous faisons la connaissance d'autres personnes dont Tuan, ancien militaire et tireur aguerri. Quel est le lien entre tous ces personnages ?
L'enquête s'avère plus compliquée que prévu.
La couverture de ce livre donne tout de suite le ton de ce qu'il renferme. Et quand vous lisez la quatrième de couverture, cela ne fait que confirmer votre impression. Cette impression qui vous collera à la peau et qui d'entrée de jeu vous propulse dans le vif du sujet.
L'auteur veille à ne pas nous perdre en travaillant les en-têtes de chapitres qui nous aident à nous repérer. Ils peuvent avoir le nom d'un personnage ou des mots-clés qui résument le chapitre. Un style fluide avec des chapitres ultra courts ce qui impose un bon rythme. Un livre de 400 pages vite englouti.
Première page, première ligne, on est directement débarqué dans une scène de mise à mort lente avec tout un tas de tortures, une perversité sans nom. L'objectif du tueur, avoir toujours plus d'imagination pour les mises à mort. L'auteur s'affirme dès le début et j'aime ça !
Dans "Les abysses du mal", chaque personnage cache sa part d'ombre avec des degrés plus ou moins important. J'ai apprécié Derolle avec ses fantômes, ses émotions à fleur de peau et ses bonnes intuitions au fil de l'enquête. Il se jettera corps et âme dans cette affaire. Les sentiments des victimes sont analysés/explorés au contraire du tueur. C'est peut-être "sadique" mais j'aurais voulu rentrer dans sa tête et en savoir plus sur ces commanditaires dont on en sait trop peu.
Mon seul "gros" regret est de savoir qui est le meurtrier dès le début. J'aurais voulu avoir plus de suspens, ou un gros retournement de situation car il me reste cette sensation d'inachevée. Malgré cet aspect, c'est un thriller sombre et efficace, une histoire originale mais pas assez approfondie pour ma part.
J'ai bien aimé la thématique du dark net car on en sait trop peu à ce sujet. Par contre, je ne connaissais pas du tout l'existence des snuff movies qui me paraissent tout simplement inconcevable et inimaginable.
Un thriller sombre/noir qui je pense aura une suite au vu de la dernière phrase. Qu'est-ce que Marc Charuel nous a concocté ?
Un thriller sombre/noir qui je pense aura une suite au vu de la dernière phrase. Qu'est-ce que Marc Charuel nous a concocté ?
# By Aurélie :)
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