**** Chronique de Jess ****
Quand Isabelle Desrameaux, chef d'entreprise à la vie privée débridée, est retrouvée torturée à mort à son domicile, c'est du côté du milieu libertin que va fouiller la police. Mais quand une mère de famille sans histoires est découverte, quelques jours plus tard, immolée par le feu sur le campus de Grenoble, l'enquête prend une autre tournure. Rapidement, le capitaine Nadia Barka comprend que c'est dans le passé qu'elle aura une chance de trouver la clé de ces meurtres. Les secrets du Vatican ou la mémoire d'un vieil aristocrate misanthrope tapi sur le sommet du Trastevere à Rome sauront-ils l'aider à décrypter les rares indices dont elle dispose ?
Passant des procès iniques de l'Inquisition du XVIIe siècle aux turpitudes d'une élite lyonnaise dépravée, l'officier de police va se battre pour découvrir la signification du sceau des sorcières, tatouage commun aux victimes, et tenter d'arrêter les assassinats qui s'enchaînent.
Ce roman prend racine dans l'histoire de France pour livrer au lecteur une quête qui l'emmènera à la rencontre d'une guérisseuse au savoir ancestral, d'un prêtre romain séduisant, de truands tapis dans toutes les couches de la société et de flics au bord de la crise de nerfs.
J'ai découvert Jacques Vandroux l'année dernière avec le Projet Anastasis (ma chronique ici) qui avait été une superbe découverte et un énorme coup de cœur.
J'ai donc commencé Le sceau des sorcières confiante, en sachant que j'allais passer un très bon moment. En plus c'est un beau pavé de plus de 500 pages donc de quoi passer de belles heures de lecture.
Dès le premier chapitre je suis plongée dans l'histoire qui débute en 1615. C'est une période qui m'intrigue énormément. J'étais curieuse de voir ce que Jacques nous avait concocté et comment il allait dérouler un polar sur une aussi longue période.
Au XVIIème siècle nous rencontrons donc Margot Malherbe, guérisseuse de son village et accusée de sorcellerie. Elle était protégée par le Baron des alentours. Mais à la mort de ce dernier les choses changent. Son fils n'est pas du même acabit et a cherché plusieurs fois à mettre Margot dans son lit mais celle-ci a toujours refusé. Mais la vengeance d'un homme éconduit peut être sans limite. Surtout qu'il sait que ses aïeuls ont donné un trésor à la famille de Margot et il veut absolument le récupérer. La chasse aux sorcières va donc commencer.
De nos jours, Nadia Barka, commandant de police et jeune mère d'une petite Adèle 9 mois, enquête sur le meurtre d'une femme. Elle a été torturée avant d'être assassinée. Tout porte à croire qu'elle faisait partie du milieu libertin. Sur son corps le médecin légiste retrouve un drôle de tatouage. S'ensuit d'autres assassinats qui laisse Nadia et son équipe sur les rotules car tout mène à une impasse. Mais rapidement ils vont comprendre que les tortures infligées aux victimes ressemblent étrangement à ce qui se faisait aux temps de l'Inquisition.
Et d'un autre côté Nadia doit répondre de ses actes suite à l'arrestation musclée de 4 violeurs pris sur le fait. En effet Nadia n'y a pas été de main morte et a envoyé les quatre individus à l'hôpital. Un des jeunes est le fils du bras droit du Préfet de Grenoble et ils vont tout faire pour discréditer Nadia. Entre son enquête et sa mise en examen, Nadia est à deux doigts du burn-out. Son mari, également policier va tout faire pour l'aider à se sortir de ce mauvais pas. Mais vu le caractère volcanique de Nadia elle veut que personne ne l'aide. On peut dire qu'elle a un caractère bien trempé! Tout comme toutes les femmes que nous rencontrerons dans ce polar.
L'enquête va prendre une tournure inattendue et va emmener Nadia à Rome où elle va faire un saut en arrière directement au XVIIème siècle. J'ai adoré cette partie du livre qui nous raconte cette chasse aux sorcières. Les coutumes, les mœurs de l'époque. L'auteur va nous plonger directement dans cette période pour mon plus grand bonheur. J'aime remonter dans l'histoire le temps d'un livre et quand c'est si bien écrit ça en devient un vrai délice. Je peux vous dire que j'ai frisé l'orgasme littéraire avec ce polar.
En plus de nous faire remonter le temps, Jacques nous emmène dans le milieu libertin. Il ne nous épargnera aucun détails mais ne tombe pas dans le vulgaire.
Les protagonistes de l'histoire ne seront pas épargnés non plus par l'auteur. J'ai eu plusieurs fois peur pour eux.
J'avais un peu peur qu'il y ait des longueurs au vu du pavé que je m'apprêtais à lire et bien pas une seule seconde je me suis ennuyée dans ce livre qui ne vous laissera pas une minute de répit.
Une enquête palpitante qui vous fera voyager entre Grenoble et Rome et entre le XVIIème siècle et de nos jours. Jacques doit être un peu sorcier car il m'a envoûté ! Je suis totalement fan de ses bouquins. Déjà avec le Projet Anastasis ça avait été l'extase mais alors là chapeau bas!
Passant des procès iniques de l'Inquisition du XVIIe siècle aux turpitudes d'une élite lyonnaise dépravée, l'officier de police va se battre pour découvrir la signification du sceau des sorcières, tatouage commun aux victimes, et tenter d'arrêter les assassinats qui s'enchaînent.
Ce roman prend racine dans l'histoire de France pour livrer au lecteur une quête qui l'emmènera à la rencontre d'une guérisseuse au savoir ancestral, d'un prêtre romain séduisant, de truands tapis dans toutes les couches de la société et de flics au bord de la crise de nerfs.
J'ai donc commencé Le sceau des sorcières confiante, en sachant que j'allais passer un très bon moment. En plus c'est un beau pavé de plus de 500 pages donc de quoi passer de belles heures de lecture.
Dès le premier chapitre je suis plongée dans l'histoire qui débute en 1615. C'est une période qui m'intrigue énormément. J'étais curieuse de voir ce que Jacques nous avait concocté et comment il allait dérouler un polar sur une aussi longue période.
Au XVIIème siècle nous rencontrons donc Margot Malherbe, guérisseuse de son village et accusée de sorcellerie. Elle était protégée par le Baron des alentours. Mais à la mort de ce dernier les choses changent. Son fils n'est pas du même acabit et a cherché plusieurs fois à mettre Margot dans son lit mais celle-ci a toujours refusé. Mais la vengeance d'un homme éconduit peut être sans limite. Surtout qu'il sait que ses aïeuls ont donné un trésor à la famille de Margot et il veut absolument le récupérer. La chasse aux sorcières va donc commencer.
De nos jours, Nadia Barka, commandant de police et jeune mère d'une petite Adèle 9 mois, enquête sur le meurtre d'une femme. Elle a été torturée avant d'être assassinée. Tout porte à croire qu'elle faisait partie du milieu libertin. Sur son corps le médecin légiste retrouve un drôle de tatouage. S'ensuit d'autres assassinats qui laisse Nadia et son équipe sur les rotules car tout mène à une impasse. Mais rapidement ils vont comprendre que les tortures infligées aux victimes ressemblent étrangement à ce qui se faisait aux temps de l'Inquisition.
Et d'un autre côté Nadia doit répondre de ses actes suite à l'arrestation musclée de 4 violeurs pris sur le fait. En effet Nadia n'y a pas été de main morte et a envoyé les quatre individus à l'hôpital. Un des jeunes est le fils du bras droit du Préfet de Grenoble et ils vont tout faire pour discréditer Nadia. Entre son enquête et sa mise en examen, Nadia est à deux doigts du burn-out. Son mari, également policier va tout faire pour l'aider à se sortir de ce mauvais pas. Mais vu le caractère volcanique de Nadia elle veut que personne ne l'aide. On peut dire qu'elle a un caractère bien trempé! Tout comme toutes les femmes que nous rencontrerons dans ce polar.
L'enquête va prendre une tournure inattendue et va emmener Nadia à Rome où elle va faire un saut en arrière directement au XVIIème siècle. J'ai adoré cette partie du livre qui nous raconte cette chasse aux sorcières. Les coutumes, les mœurs de l'époque. L'auteur va nous plonger directement dans cette période pour mon plus grand bonheur. J'aime remonter dans l'histoire le temps d'un livre et quand c'est si bien écrit ça en devient un vrai délice. Je peux vous dire que j'ai frisé l'orgasme littéraire avec ce polar.
En plus de nous faire remonter le temps, Jacques nous emmène dans le milieu libertin. Il ne nous épargnera aucun détails mais ne tombe pas dans le vulgaire.
Les protagonistes de l'histoire ne seront pas épargnés non plus par l'auteur. J'ai eu plusieurs fois peur pour eux.
J'avais un peu peur qu'il y ait des longueurs au vu du pavé que je m'apprêtais à lire et bien pas une seule seconde je me suis ennuyée dans ce livre qui ne vous laissera pas une minute de répit.
Une enquête palpitante qui vous fera voyager entre Grenoble et Rome et entre le XVIIème siècle et de nos jours. Jacques doit être un peu sorcier car il m'a envoûté ! Je suis totalement fan de ses bouquins. Déjà avec le Projet Anastasis ça avait été l'extase mais alors là chapeau bas!
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